Le premier syndicat des enseignants de Polynésie, suivait le mouvement national et appelait ses membres à faire grève. © DR

L’information avait même échappé au ministère de l’Education, pourtant, ce matin, le SNETAA FO, premier syndicat des enseignants de Polynésie, suivait le mouvement national et appelait ses membres à faire grève.

Une décision prise suite à la présentation, par le ministre de l’Education nationale,  le 12 février dernier, d’une troisième version des fiches des métiers des enseignants du secondaire, doublée de l’annonce de la ministre de la Fonction publique de maintenir le gèle des salaires.

A dire vrai les revendications concerne la métropole, puisque l’Education relève ici de la compétence du Pays, mais le syndicat s’inquiète de l’avenir de la profession et tenait à manifester sa solidarité.

On écoute Nicolas Broseus, secrétaire général du Snetaa FO en Polynésie, il est interrogé par Tamara Sentis

Le mouvement a pourtant tout d’un coup d’épée dans l’eau. Ce matin, aucun chef d’établissement n’avait fait remonter d’absence de l’un de ses professeurs auprès de la Direction de l’Enseignement.