FAITS DIVERSINTERNATIONAL Clermont-Ferrand : un proviseur condamné pour exhibition sexuelle La rédaction 2014-07-17 17 Juil 2014 La rédaction Il a été condamné à trois mois de prison avec sursis, mise à l'épreuve pendant deux ans et obligation de soins. © MAX PPP Il a été condamné à trois mois de prison avec sursis, mise à l’épreuve pendant deux ans et obligation de soins. © MAX PPP CLERMONT-FERRAND – En novembre 2013, ce chef d’établissement a été vu à trois reprises en train de se masturber dans son bureau, devant son ordinateur. L’INFO. Un proviseur du Puy-de-Dôme a été condamné mardi à Clermont-Ferrand à trois mois de prison avec sursis, mise à l’épreuve pendant deux ans et obligation de soins pour des faits d’exhibition sexuelle, a-t-on appris jeudi de son avocate, confirmant une information du quotidien régional La Montagne. En novembre 2013, ce chef d’établissement a été vu à trois reprises en train de se masturber dans son bureau, devant son ordinateur. Sites pornographiques. « C’est une voisine, logeant dans un immeuble proche du lycée qui l’a aperçu depuis sa fenêtre. Elle a averti l’établissement, qui a ensuite fait un signalement auprès du parquet », a indiqué l’avocate du proviseur, Me Clémence Freydefont. L’analyse de l’ordinateur du proviseur a révélé que ce dernier consultait « des sites pornographiques mettant en scène des majeurs ayant des relations sexuelles sadomasochistes ». Il s’est également connecté « une seule et unique fois » à un site étranger de partage d’images, montrant « des enfants dénudés, mais pas en situation d’être exploités sexuellement », a ajouté l’avocate, précisant que son client « n’était nullement poursuivi pour détention d’images pédopornographiques ». Un « stress aigu ». Le proviseur, âgé d’une cinquantaine d’années, a été suspendu de ses fonctions depuis le 10 janvier 2014. Lors de l’audience devant le tribunal correctionnel de Clermont-Ferrand, celui-ci a évoqué un « stress aigu » lié à son arrivée récente dans l’établissement. Il a par ailleurs été condamné à verser 300 euros de dommages et intérêts à la voisine de l’établissement, qui s’était portée partie civile. Source : Europe1 Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)