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Expresso : Jeudi 10 mai sur TNTV

Heremoana Maamaatuaiahutapu. © Cédric VALAX

Autour de la table, les journalistes de la Dépêche de Tahiti, de Tahiti Info, de TNTV et de Radio 1 décryptent l’actualité du moment et bien entendu celle de leur invité. Et l’invité de cette troisième émission n’est autre que le directeur de la Maison de la culture.

Au programme : les élections présidentielles, le port de l’uniforme à l’école et bien entendu la culture. Des sujets sur lesquels Heremoana Maamaatuaiahutapu apportera son éclairage. C’est le cas, par exemple de l’intrusion des politiques dans le monde culture. Et notre invité, sur le sujet, n’est pas tendre. Morceau choisi…

Expresso, c’est à suivre, ce soir sur TNTV à 20h.

Expresso

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3 Commentaires

  1. Edna Tautu
    10 mai 2012 à 20h46 — Répondre

    On a pas mis les bonnes personnes pour parler de la culture polynésienne, trop de popaa sur le plateau!!!

    • 11 mai 2012 à 12h55 — Répondre

      En quoi être métropolitain empêcherait-il de parler de culture? De toutes les cultures puisque, si vous avez suivi l’émission, il n’était pas uniquement question de culture polynésienne.
      De plus, les journalistes présents sur le plateau, dont Tiare-Nui Pahuiri, ne sont là que pour poser des questions. Les leurs mais également celles qui nous parviennent via nos médias respectifs où tout simplement via la population avec laquelle nous sommes en contact au quotidien.
      Pour terminer, Heremoana MAAMAATUAIAHUTAPU me semble être LA bonne personne pour parler de culture avec son franc-parler et surtout sans langue de bois ni concessions.

  2. Moeata
    10 mai 2012 à 20h49 — Répondre

    Au sujet de l’uniforme, contrairement à beaucoup, je pense que l’uniforme est un moyen d’apprendre à nos enfants le respect. Ils devront respecter ce règlement qui est visible, donc il ne pourra pas s’y plier. Les problèmes de la jeunesse sont aujourd’hui liés au laisser aller dû à la démission des parents et parfois au manque d’implication des enseignants. Tout cela conforté par les images d’extrême violence véhiculées à la télé, au cinéma et sur internet. Si nous refusons de canaliser nos enfants aujourd’hui, on fera une société demain qui sera dirigée par la violence et les dérives de toutes sortes. Je ne suis pas du tout adepte du gouvernement actuel mais je trouve que cette initiative,même si elle n’est pas prioritaire, est intéressante.

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