ACTUS LOCALESSOCIÉTÉ Terrorisme : « La Polynésie n’est pas une cible » Khadidja Benouataf 2015-11-18 18 Nov 2015 Khadidja Benouataf © Khadidja Benouataf La ministre des Outre-mer, George Pau-Langevin, a confirmé mercredi matin l’extension de l’état d’urgence aux outre-mer français. Mais cette mesure ne concerne pas les collectivité du Pacifique que sont la Nouvelle-Calédonie, la Polynésie française et Wallis et Futuna qui restent en « Vigipirate renforcé ». Même si ce sont des « démarches délirantes » qui animent les terroristes, la ministre estime que « la Calédonie et la Polynésie, qui sont beaucoup plus loin, ne sont pas des cibles pertinentes dans ce type de démarche ». [zoomsounds_player source= »https://www.radio1.pf/cms/wp-content/uploads/2015/11/GPL-Cibles.mp3″ config= »default » playerid= »187708″ waveformbg= » » waveformprog= » » thumb= »https://www.radio1.pf/cms/wp-content/uploads/2015/11/Pau-Langevin.jpg » autoplay= »off » cue= »on » enable_likes= »off » enable_views= »off » songname= » » artistname= » »] Interrogée sur l’inquiétude des Polynésiens après la tentative d’installation de l’imam radical salafiste en 2013, la ministre répond qu’elle connaît parfaitement le dossier et que « la réaction de la population a été telle que cette personne a été isolée et n’a pas pu se fondre dans la masse et remplir ses objectifs ». [zoomsounds_player source= »https://www.radio1.pf/cms/wp-content/uploads/2015/11/GPL-imam.mp3″ config= »default » playerid= »187709″ waveformbg= » » waveformprog= » » thumb= »https://www.radio1.pf/cms/wp-content/uploads/2015/11/Pau-Langevin.jpg » autoplay= »off » cue= »on » enable_likes= »off » enable_views= »off » songname= » » artistname= » »] L’extension de l’état d’urgence outre-mer fait notamment suite à l’identification d’un djihadiste originaire de la Réunion, dont la voix a été reconnue sur le message de revendication de Daesh pour les attentats perpétrés à Paris le 13 novembre dernier. Une centaine d’ultra-marins auraient été séduits par les sirènes du djihad. Quelques « illuminés », mesure la ministre, « contre lesquels il faut collecter des informations et se défendre ». Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)