ACTUS LOCALESSOCIÉTÉ

66 millions pour la future fourrière de la Punaruu

Le projet de fourrière animale pour les communes de Punaauia, Paea et Papara est en très bonne voie. Après l’enquête publique menée en juillet dernier, un arrêté du haut-commissaire est venu fixer, mardi, le montant de l’opération : 66 millions de Fcfp pour la construction de la fourrière dans la vallée de la Punaruu et l’acquisition d’un incinérateur.

En juillet dernier, une enquête publique avait révélé le projet des trois communes de Punaauia, Paea et Papara de se doter d’une fourrière animale. Réunies au sein du Syndicat intercommunal pour la gestion de la fourrière animale (SIGFA), les trois communes ont choisi la vallée de la Punaruu pour la construction de la fourrière constituée de 20 cages et d’un incinérateur. Mardi, un arrêté du haut-commissariat est venu préciser les modalités de financement de ce projet : 53 millions de Fcfp par le FIP et 13 millions de Fcfp par les trois communes. La fourrière ne devrait donc pas tarder à sortir de terre, puisque la dotation impose maintenant des délais de construction de deux ans au maximum…

Article précedent

Tatauroscope du jeudi 31 décembre 2015

Article suivant

Les routes polynésiennes sous surveillance immédiate

8 Commentaires

  1. Marama
    31 décembre 2015 à 8h11 — Répondre

    Avis au gouvernement, à l’Assemblée de Polynésie française et à toute association et syndicat pouvant intervenir dans ce domaine :

    Proposition de solution :
    Pour enrayer la présence de chiens maltraités et mal nourris dans le paysage polynésien, compléter et alléger à moyen et long terme la gestion des fourrières qui devront pouvoir se multiplier au besoin, proposer une taxe obligatoire pour toute propriété de chien, pas trop importante non plus, afin ne pas pénaliser les plus démunis.
    Cette taxe ne servirai pas à grossir encore le budget du territoire, mais serait une sorte de crédit mutuelle qui encouragerait les propriétaires à faire une visite annuelle chez le vétérinaire pour conseils de soins, état de santé général, déparasitage et vermifuge obligatoire minimum dont ils bénéficieraient d’une réduction importante lors de cette visite qui leur rembourserait cette taxe, du moins en partie.
    Tout chien errant ou aux abords des propriétés qui ne correspondraient pas à cette garantie et à l’obligation de marquage par puce ou tatouage, serait amené à la fourrière et demanderait une pénalité pas trop importante non plus pour ne pas créer des drames humains dans les familles les plus démunies, avant d’être mis à l’adoption, et dans le pire des cas, euthanasiés, si non réclamés et non adopté au bout d’un délais de 3 semaines (deux semaines me semble un peu court).
    Ces animaux soignés feraient l’objet d’une publicité télévisée pour présenter quotidiennement chaque animaux et leur personnalité afin de favoriser cette adoption.
    Les chaînes locales de TV recevant des subventions du territoire devront , assurer obligatoirement cette contrepartie avec soin durant un court métrage de 10 à 15 minutes selon de nombre de chiens et/ou chat présentés suivi d’un cour conseil du jour de soin ou d’éducation d’un vétérinaire agréé.
    Ainsi les propriétaires des chiens responsabilisés réfléchiraient plus avant d’avoir un chien, les traiteraient obligatoirement mieux sans excès budgétaire, contribueraient à assainir les rues de chiens maltraités malheureux, dangereux parfois, et rendraient un paysage à nos touristes, moins alarmant de ce côté.
    Nous gagnerions un échelon d’humanité avec juste ce coup de pouce qui n’est pas grand chose mais qui fait tout.
    Il faudrait que de telles mesures fassent l’objet de larges diffusions dans toutes les presses afin de permettre à toute la population de se préparer à ces nouvelles exigences dans un délai « raisonnable » voir un numéro vert auprès de qui ils pourraient demander conseil si ils se trouvent dans une situation vis à vis de leurs animaux qui rendraient difficile l’amélioration du sort de leurs animaux afin d’y entendre des solutions concrètes, raisonnables et à leur portée.

    Merci de faire suivre, tous ceux qui sont d’accord avec cette proposition

  2. Poe
    31 décembre 2015 à 8h13 — Répondre

    Avis au gouvernement, à l’Assemblée de Polynésie française et à toute association et syndicat pouvant intervenir dans ce domaine :
    Proposition de solution :
    Pour enrayer la présence de chiens maltraités et mal nourris dans le paysage polynésien, compléter et alléger à moyen et long terme la gestion des fourrières qui devront pouvoir se multiplier au besoin, proposer une taxe obligatoire pour toute propriété de chien, pas trop importante non plus, afin ne pas pénaliser les plus démunis.
    Cette taxe ne servirai pas à grossir encore le budget du territoire, mais serait une sorte de crédit mutuelle qui encouragerait les propriétaires à faire une visite annuelle chez le vétérinaire pour conseils de soins, état de santé général, déparasitage et vermifuge obligatoire minimum dont ils bénéficieraient d’une réduction importante lors de cette visite qui leur rembourserait cette taxe, du moins en partie.
    Tout chien errant ou aux abords des propriétés qui ne correspondraient pas à cette garantie et à l’obligation de marquage par puce ou tatouage, serait amené à la fourrière et demanderait une pénalité pas trop importante non plus pour ne pas créer des drames humains dans les familles les plus démunies, avant d’être mis à l’adoption, et dans le pire des cas, euthanasiés, si non réclamés et non adopté au bout d’un délais de 3 semaines (deux semaines me semble un peu court).
    Ces animaux soignés feraient l’objet d’une publicité télévisée pour présenter quotidiennement chaque animaux et leur personnalité afin de favoriser cette adoption.
    Les chaînes locales de TV recevant des subventions du territoire devront , assurer obligatoirement cette contrepartie avec soin durant un court métrage de 10 à 15 minutes selon de nombre de chiens et/ou chat présentés suivi d’un cour conseil du jour de soin ou d’éducation d’un vétérinaire agréé.
    Ainsi les propriétaires des chiens responsabilisés réfléchiraient plus avant d’avoir un chien, les traiteraient obligatoirement mieux sans excès budgétaire, contribueraient à assainir les rues de chiens maltraités malheureux, dangereux parfois, et rendraient un paysage à nos touristes, moins alarmant de ce côté.
    Nous gagnerions un échelon d’humanité avec juste ce coup de pouce qui n’est pas grand chose mais qui fait tout.
    Il faudrait que de telles mesures fassent l’objet de larges diffusions dans toutes les presses afin de permettre à toute la population de se préparer à ces nouvelles exigences dans un délai « raisonnable » voir un numéro vert auprès de qui ils pourraient demander conseil si ils se trouvent dans une situation vis à vis de leurs animaux qui rendraient difficile l’amélioration du sort de leurs animaux afin d’y entendre des solutions concrètes, raisonnables et à leur portée.
    Merci de faire suivre, tous ceux qui sont d’accord avec cette proposition

  3. Poe
    31 décembre 2015 à 8h27 — Répondre

    Je voulais juste préciser dans ma proposition de solution :
    Évidemment les pénalités payés par les propriétaires leur servirait à récupérer leur chien avec la signature sur l’honneur de s’engager en retour à se mettre dans les règles dans un délais « raisonnable » qui fera l’objet à son issu d’un contrôle et pourra permettre ou on au propriétaire de récupérer son chien et de trouver les solutions à sa portée. Ainsi il aura une marge de manœuvre sur le sort de son chien qui respectera le lien affectif qui les unis dans les limites du possible dans l’intérêt de l’animal et de son propriétaire.

  4. Poe
    31 décembre 2015 à 8h40 — Répondre

    J’aurais envie de rajouter, en pensant aux SDF qui n’ont que leur unique chien de compagnie, de prévoir une dérogation spéciale pour eux afin de ne pas leur enlever le seul être fidèle qui leur reste et leur donne compagnie et chaud au cœur, si l’état général de leur chien ne présente pas de signe alarmant de mauvaise santé, voir leur proposer quelque chose…, leur donner un choix particulier…à réfléchir.

  5. Pseudos Poe et Marama
    31 décembre 2015 à 9h46 — Répondre

    Je suis bien la même personne, cependant, j’exerce un métier dans la fonction publique et pour cette raison, je m’exprime souvent sous pseudo pour ne pas heurter les décisions du gouvernement et m’exprimer surtout pas en tant que fonctionnaire n’ayant pas la fonction de responsable et démunie de compétence d’autorité pour les matières dont je parle, mais en tant que citoyenne polynésienne et française qui par ce biais entretiens le sens de sa tâche quotidienne motivée par la conviction

    Merci et à bientôt, sous un autre pseudo !

  6. Poe
    31 décembre 2015 à 10h57 — Répondre

    Une correction importante à apporter,

    concernant les mesures ci-dessues :

    Je pense qu’une fois l’animal en fourrière, il faudrait 15 jours pour laisser le temps au propriétaire ayant perdu son chien de se manifester et payer la sortie de son chien en effraction,
    Et si le chien ou chat n’est pas réclamé, quinze jours supplémentaires pour laisser le temps au gens qui auront vus la publicité de son adoption à l’issu des quinze premiers jours de se manifester pour engager l’adoption qui ne peut être acceptée qu’après étude minimum des conditions d’adoption, de l’identification prévue par puce électronique et du paiement de la taxe mutuelle qui lui permettra la visite annuelle obligatoire de son animal de compagnie, chez le vétérinaire de son choix.
    Les gens ayant dû payer une pénalité d’effraction pour sortir leur chien de la fourrière devrons justifier un mois plus tard de la régularisation de la situation ou des situations qui avaient provoqué la confiscation de l’animal.

  7. Poea
    31 décembre 2015 à 10h58 — Répondre

    Une correction importante à apporter,

    concernant les mesures ci-dessues :

    Je pense qu’une fois l’animal en fourrière, il faudrait 15 jours pour laisser le temps au propriétaire ayant perdu son chien de se manifester et payer la sortie de son chien en effraction,
    Et si le chien ou chat n’est pas réclamé, quinze jours supplémentaires pour laisser le temps au gens qui auront vus la publicité de son adoption à l’issu des quinze premiers jours de se manifester pour engager l’adoption qui ne peut être acceptée qu’après étude minimum des conditions d’adoption, de l’identification prévue par puce électronique et du paiement de la taxe mutuelle qui lui permettra la visite annuelle obligatoire de son animal de compagnie, chez le vétérinaire de son choix.
    Les gens ayant dû payer une pénalité d’effraction pour sortir leur chien de la fourrière devrons justifier un mois plus tard de la régularisation de la situation ou des situations qui avaient provoqué la confiscation de l’animal.

  8. mad
    2 janvier 2016 à 20h02 — Répondre

    Bonjour
    Poe tes propositions sont intéressantes j’espère que les personnes concernées ont tiendrons compte, et que ces même personnes se rapprocherons des assos qui sont régulièrement sur le terrain pour venir en aides aux animaux abandonnés et connaissent mieux que qui quiconque les réalités du terrain.
    Malheureusement du peux que j’ai pu lire sur ce projet, cela risque plus d’être de l’abatage massif de chiens et chat sous couvert de la fourrière .

Laisser un commentaire

PARTAGER

66 millions pour la future fourrière de la Punaruu