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La SPRES sort la tête de l’eau

Au cœur de l’actualité judiciaire la semaine dernière dans l’affaire de la TEP, la Société polynésienne de réseaux d’études et de service (SPRES) sort la tête de l’eau un an et demi après son placement en redressement judiciaire. Lundi dernier, le tribunal mixte de commerce de Papeete a accepté le « plan de continuation » proposé par la société qui emploie toujours près de 90 personnes.

Au cœur de l’affaire judiciaire révélée vendredi par la perquisition à la TEP, la SPRES a vu son avenir s’éclaircir lundi dernier devant le tribunal mixte de commerce de Papeete. La société de construction et d’installation de réseaux électrique était dirigée par l’ancien ministre, Bruno Marty, jusqu’à sa prise de fonction au sein du gouvernement Flosse en 2013. Quelques mois plus tard, le 8 septembre 2014, la société avait été placée en redressement judiciaire par le tribunal mixte de commerce de Papeete après plusieurs années d’un contexte économique particulièrement difficile pour le secteur du BTP. Mais lundi, les juges ont accepté le « plan de continuation » proposé par la société qui emploie aujourd’hui encore près de 90 personnes. En clair, le tribunal a accepté la stratégie proposée par la SPRES pour apurer ses dettes au cours des prochains mois et sortir du redressement judiciaire.

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