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Le sens caché de la circoncision

Te peritome ma’ohi de Gérard Garnier © DR

Les éditions Au vent des îles publient un essai de Gérard Garnier portant réflexion sur la circoncision polynésienne. L’œuvre s’intitule « Te peritome ma’ohi ».

L’auteur propose de revenir sur le sens caché de cette coutume ancienne. L’écrivain parle de ce rite de passage qui conduit l’adolescent à l’âge adulte.

 

Gérard Garnier, médecin qui exerce à Tahiti depuis les années 80, nous parle de cet acte médical pratiqué en Polynésie (en podcast).

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3 Commentaires

  1. Nonofenua
    9 septembre 2012 à 7h55 — Répondre

    C’est une forme d’atteinte à la dignité de l’homme au même titre que l’excision effectuée sur les jeunes filles. Une pratique qui ne devrait plus avoir cours au jour d’aujourd’hui. Car la peau appelée prépuce qui recouvre la partie du gland sert à le protéger de façon à ce qu’il garde toute sa sensibilité. Si dieu nous a créé comme tel, c’est bien l’homme par ses absurdités qui a eu recours à ce genre de pratique que je qualifie de mutilations génitales.

    • 9 septembre 2012 à 12h40 — Répondre

      Chacun a le droit d’être pour ou contre la circoncision soit par conviction personnel soit par sa culture religieuse. Si vous lisez la bible, les écrits mentionnent bien que la circoncision est un pacte qui lie l’homme à Dieu notre créateur (Abraham, Moise, Jésus etc…)

      • Nonofenua
        10 septembre 2012 à 6h57 — Répondre

        C’est bien ce que je dis c’est bien une absurdité de l’homme qui en a fait une interprétation et surtout quand j’entends :  » ça y est depuis que je suis circonci je suis devenu un homme » mais par quel phénomène. Je considère la circoncision comme un crime contre l’humanité surtout lorsqu’elle est pratiquée sur un enfant mineur sans raison médicale. Il faut laisser l’enfant choisir par lui-même lorsqu’il est majeur.

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