Carl Aderhold, président du jury du 16e Fifo. @ Radio 1

La diffusion des films au public du 16^e Fifo commence mardi matin à la Maison de la culture. Avant l’ouverture, le président du jury, l’écrivain français Carl Aderhold, a expliqué qu’il comptait apporter à la compétition sa « naïveté », et s’est dit sensible aux « migrations » et à la « transition écologique ».

Carl Aderhold, le président du 16^e Festival international du film documentaire océanien, s’est exprimé devant la presse lundi matin à la Maison de la culture, à la veille de l’ouverture officielle du festival. L’écrivain ne cache pas qu’il vient d’un univers radicalement éloigné du Fifo. Historien français, spécialiste de la littérature du XVIII^e siècle, il va découvrir avec le Fifo, à la fois l’Océanie et le monde du documentaire vidéo. Il explique qu’il compte précisément apporter au Fifo sa « fraîcheur » et sa « naïveté ».

Les 13 documentaires en compétition parlent de la place des cultures indigènes, de la montée du niveau des océans, du genre… Carl Aderhold, avant d’avoir vu tous ces films, se dit sensible aux questions sur les « migrations » et la « transition écologique ».

En plus du président, Carl Aderhold, le jury du 16^e Fifo sera composé également de Leanne Ferrer (Hawaii), Jacques-Olivier Trompas (Nouvelle-Calédonie), Hervé Boitelle (Polynésie française), Malinda Wink (Australie), Manukaroa Anderson (Nouvelle-Zélande) et Tiare Trompette (Polynésie française).