ACTUS LOCALESSOCIAL Préavis de grève au CHPF, Direction de la santé et Institut Mathilde Frébault Vaite Urarii Pambrun 2019-08-22 22 Août 2019 Vaite Urarii Pambrun L’intersyndicale (CSIP, CSTP-FO, O oe to oe rima, Otahi) a déposé des préavis de grève illimitée à la Direction de la santé, au CHPF de Taaone ainsi qu’à l’Institut Mathilde Frébault. Elle demande la reconnaissance des agents en burn-out, la mise en place de la télémédecine dans les postes isolés, ou encore la modification des grilles indiciaires suite à la réforme des retraites. L’intersyndicale dénonce la baisse de la qualité des soins ou encore le harcèlement managérial. Si aucun accord n’est trouvé, la grève prendrait effet mercredi 28 août à minuit. La grève à l’Équipement n’est pas encore réglée que déjà l’intersyndicale (CSIP, CSTP-FO, O oe to oe rima, Otahi) s’attaque au secteur de la Santé. En effet, elle a déposé en début d’après-midi trois préavis de grève. Au CHPF de Taaone l’intersyndicale a plus d’une dizaine de points de revendication. Elle dénonce la baisse de la qualité des soins ou encore le harcèlement managérial. Elle demande la mise en place d’un partenariat pour le personnel avec la maison de garde médicale du CHPF, la modification des grilles indiciaires suite à la réforme des retraites, la révision ou la substitution du statut de la Fonction publique territoriale (FPT) ou encore la mise en place de primes d’assiduité, de panier, et de salissure. À l’Institut de formation des professionnels de santé Mathilde Frébault (IFPS), l’intersyndicale a 9 points de revendication. Elle demande la reconnaissance et le respect du statut des cadres de santé formateurs, l’amélioration des conditions de travail et des outils de travail, le respect des règles en matière de notation des agents ou encore la revalorisation du point d’indice. Et enfin à la Direction de la santé, l’intersyndicale demande la révision de la tarification des médicaments, la reconnaissance des agents en « burn-out », la mise en place de la télémédecine dans les postes isolés. Elle dénonce le manque de reconnaissance dans les professions paramédicales, les inégalités des indemnités de déplacements entre les agents de la fonction publique territoriale et les agents CEAPF, et la diminution des moyens pour la prise en charge des patients qui induit des pressions supplémentaires pour les soignants. Si aucun accord n’est trouvé, la grève prendrait effet mercredi 28 août à minuit. A lire aussi: les entreprises locales ont régné en maîtres sur le marché du bâtiment et du bétonnage Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)