ACTUS LOCALESSOCIÉTÉ Une journée pour briser les silences Cédric VALAX 2012-11-25 25 Nov 2012 Cédric VALAX Le message de la fédération Vahine Orama "plus jamais de coups, parlons, dénonçons et agissons" © Lucie CECCARELLI Le message de la fédération Vahine Orama "plus jamais de coups, parlons, dénonçons et agissons" © Lucie CECCARELLI Dimanche 25 novembre était célébrée la journée internationale pour la lutte contre les violences faites aux femmes. A cette occasion, de nombreux professionnels étaient présents dans les jardins de la Maison de la Culture de Papeete, pour sensibiliser le public à ce grave problème de société. Organisée par le ministère de la culture en charge de la condition féminine, cette journée se voulait aussi festive, avec du théâtre, de la musique et de la danse. Le public était donc au rendez-vous, mais pas vraiment celui qui était ciblé : les femmes victimes de violence, en quête de soutien et d’informations. L’association « Emauta pour redonner l’espoir » était là ce dimanche, pour présenter ses quatre foyers d’accueil : l’un destiné aux femmes, l’autre aux hommes, mais aussi celui pour les familles, et celui pour les jeunes filles mères. Des foyers qui peuvent accueillir des femmes victimes de violence, mais plus généralement toutes les personnes en détresse qui ont besoin de se reconstruire. Également présente ce dimanche, la fédération Vahine Orama, qui vient notamment en aide aux femmes battues. Marie-Noëlle Epatahui, présidente de la fédération et responsable du relais Vahine Orama à la presqu’île, nous raconte comment se passent ses interventions : http://www.radio1.pf/cms/wp-content/uploads/2012/11/journee-violence-femmes-vahine-orama.mp3Podcast: DownloadCliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tags:femmesVahine Oramaviolence