Oui ia orana, c’est pour une petite réaction par rapport à l’article du Monde concernant les déchets en Polynésie. C’est quoi cette pseudo-journaliste qui nous dresse un tableau très négatif du dépotoir et de leurs déchets dans nos îles ? On sait très bien que sur le fond, elle a raison, c’est une véritable problématique qui concerne tous les pays, les déchets aujourd’hui. Mais on ne peut pas dire que dans notre pays les efforts n’ont pas été faits. Et puis la baguette magique, ça n’existe pas. Maintenant faisons le constat inverse, une critique d’océanien on va dire. Vous n’avez qu’à aller plonger en mer méditerranéenne, ou bien aller vous promener dans certaines rues de Marseille, vous constaterez que les français sont d’une très très grande propreté. Alors à d’autres les leçons… Rappelez également que la France aujourd’hui arrive en tête des pays européens avec plus de 600 tonnes par heure de déchets traités par 160 incinérateurs qui rejettent du dioxyde de carbone dangereux pour la santé des populations. Pour un pays qui est censé être une destination touristique au monde, c’est pas une très très belle image hein. Et je vous rappelle qu’en 2007, 62% des déchets étaient d’origine nucléaire. Alors voilà, je crois que le constat est clair. Faire le constat du Nord au Sud, c’est facile, mais du Sud au Nord, c’est encore plus facile. Mauruuru.

Oui, bonjour Radio 1. J’aimerais bien passer un coup de gueule là. J’ai eu un PV sur l’arrêt des bus à Carrefour Arue, où il y a jamais de bus, et puis ce PV là m’a coûté plus de 16 000 Fcfp. Moi, je trouvais que c’était cher pour un arrêt, d’autant plus qu’il n’y a jamais de bus là-dessus. S’il y a pas de bus, y’a toujours des vieilles voitures. Est-ce que ces voitures particulières reçoivent aussi un PV, j’en sais rien, en tout cas, c’est un constat. Les PV coûtent chers, stationner sur un arrêt de bus où y’a jamais de bus, ça coûte très cher. A bon entendeur.

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