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Don d’organe : enfin une législation!

Cela fait 15 ans qu’on en parle mais la greffe d’organe n’était toujours pas possible sur le territoire faute de législation.

Une carence à laquelle l’Assemblée vient de mettre un terme.

Les représentants ont adopté, ce vendredi à l’unanimité, une délibération fixant les principes généraux du don et les règles de sécurité sanitaire en matière de prélèvement et greffe d’organes, afin de permettre la mise en place de la greffe rénale en Polynésie française.

Un réel espoir pour les 120 dialysés en attente d’une greffe de rein.

Il était temps, d’autant qu’il y a urgence comme nous l’explique Pascale Testevuide, médecin néphrologue et membre de la Commission médicale d’établissement au Centre hospitalier du Taaone.

L’équipe médicale attendue dans 3 mois a prévu de faire une greffe de donneurs vivants sur 3 patients en attente d’un nouveau rein.

Alors comment donner ? En cas de décès accidentel que se passe-t-il ? Puis-je refuser d’être donneur ? Quelques éléments de réponse avec Pascale Testevuide.

Une campagne de communication devrait prochainement être diffusée pour sensibiliser les polynésiens au don d’organe.

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1 Commentaire

  1. 6 juillet 2013 à 21h09 — Répondre

    Je m'oppose fermement aux propos tenus par le Dr Testevuide! Etre donneur d'organes est un acte personnel qui doit d'abord être réfléchi. Lorsque sa position est affirmée, le donneur d'organes doit recevoir une carte de donneur d'organes; conditio sine qua non! On ne peut pas être automatiquement considéré comme un donneur éventuel si on ne l'a pas expressément formulé!!!. J'invite le ministre de tutelle à rectification car je crains qu'elle ne doive accueillir, mardi prochain, toute la Polynésie en vue de signer le fameux registre des refus

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