©Cédric Valax

Après deux années passées à la tête du Conseil économique, social et culturel (CESC), le syndicaliste de la CSTP-FO, Angélo Frébault, quittera la présidence de l’institution le 29 janvier prochain, même s’il pourrait bien être candidat à sa propre succession… A quelques jours de l’échéance, le syndicaliste revient sur son bilan qu’il juge « très positif ».

Angélo Frébault a été élu le 29 janvier 2014 à la présidence du CESC. Un début de mandat marqué par des restrictions budgétaires demandées par le gouvernement Flosse en 2013 sous la mandature de Jean Tama. Ces restrictions au CESC ont pourtant bien été appliquées sous la présidence d’Angélo Frébault. Le nombre de représentants est passé de 51 à 48. Ce qui n’a pas empêcher le CESC de fournir un travail de qualité, assure le président de l’institution.

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Angélo Frébault se targue d’avoir sorti le CESC de l’ombre en le médiatisant. Pour lui, les objectifs ont été atteints avec 365 commissions réunies et 32 avis rendus sur des lois de Pays en 2015. Mais le président sortant du CESC est surtout fier d’avoir fait entendre la voix de son institution à l’international à l’occasion de son rapport rédigé dans le cadre de la COP 21.

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Fort de ce bilan, Angélo Frébault se verrait bien briguer un nouveau mandat à la tête du CESC. Il affirme néanmoins ne pas pouvoir « confirmer directement » cette velléité avant la réunion prévue la semaine prochaine avec les représentants du collège des salariés dont il fait partie. Angélo Frébault affirme bénéficier d’autres soutiens et conclut en assurant qu’une majorité de conseillers de l’institution « souhaiterait que je me porte candidat »…