Après son refus d’une épreuve de Fort Boyard où elle devait affronter des araignées, Vaimalama s’est fait violemment critiquer. Elle a répondu, accusant la production d’avoir voulu la forcer alors qu’elle avait clairement expliqué sa phobie : « Se dépasser, je veux bien mais on a chacun nos propres limites. »

Samedi dernier, France2 diffusait Fort Boyard, émission mythique à laquelle participait Vaimalama Chaves, Miss Tahiti 2018 et Miss France 2019. Habituée de l’émission – c’était sa 4^e participation – a jeune femme a refusé catégoriquement de participer à l’épreuve dite de « la maison de poupées » en raison de sa phobie des araignées et des scorpions : « Le choix, il n’est pas cornélien. C’est non », a déclaré l’ancienne Miss France. Et d’ajouter : « Ce n’est pas mon problème, c’est mort », alors qu’elle était tétanisée par la peur. La règle du jeu lui permettant de refuser et de se faire remplacer par un autre membre de l’équipe, c’est ce qu’elle a fait.

Les internautes se sont déchaînés, notamment sur Twitter : « J’aimais bien Vaimalama. Jusqu’à ce soir », « Le culot monumental de Vaimalama Chaves, qui critique Egdar-Yves parce que l’abandon ne rapporte pas d’indice, mais qui refuse de faire une épreuve pour deux indices », « Vaimalama, je suis déçu de toi là ! Sympa pour l’association ! », peut-on lire sur le réseau social.

Des messages négatifs auxquels Vaimalama Chaves a répondu ce mardi 23 aout 2022, via sa story Instagram. Elle accuse la production de l’émission d’avoir voulu la forcer alors qu’elle avait clairement dit qu’elle ne participerait pas à cette épreuve : « Mon refus de prendre part à l’épreuve des araignées a été perçu comme hautain et salué par des insultes. […] J’avais dit auparavant que je n’irais pas aux araignées. C’était ma seule condition à ma participation. Ils ont tenté de me forcer pour que je cède, mais non, c’est non. Et me convaincre d’y aller par la pression médiatique qu’apporterait cette émission était du chantage. Je déteste ça alors mon non est resté non. Je n’ai qu’une parole et si c’est vrai dans la vraie vie, c’est aussi vrai à la télé (…) Se dépasser, je veux bien mais on a chacun nos propres limites. »