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Ce qu’il faut retenir de l’interview de Sarkozy sur France 2

© Capture d’écran France 2

SHOW – L’ancien chef de l’État a donné une longue interview dimanche soir, au 20h de France 2. Morceaux choisi.

Il revient. Deux jours après s’être déclaré dans la course à la présidence de « sa famille politique », Nicolas Sarkozy était dimanche soir l’invité de France 2. Pendant 45 minutes, il a parlé de la France, de lui, a reconnu des échecs, expliqué pourquoi il revenait sur le devant de la scène, taclé François Hollande et tenté d’apaiser son camps. Que retenir de l’interview ? Europe1.fr a sélectionné les dix phrases les plus marquantes.

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– « Je n’ai jamais prétendu être le sauveur »

– « Qu’est ce qui reste de l’anaphore ‘Moi Président’ [de François Hollande] ? Une litanie de mensonges. »

– « Est-ce que vous me prêtez deux neurones d’intelligence ? Si j’avais peur, est-ce que je reviendrais ? Je n’ai pas peur. »

– « Qui me rendra mon honneur ? Est-ce que vous ne croyez pas que tout ceci [les affaires], ne sert pas certains desseins ? »

– « Je souhaite naturellement qu’il [François Hollande] aille au bout. Je l’espère. »

– « Je ne suis pas venu pour expliquer aux Français que je serai candidat à la présidentielle en 2017. »

– « Alain Juppé, je l’ai connu quand j’avais 20 ans, c’est un ami, c’est un partenaire, c’est un compagnon. J’aurai besoin de lui. (…) François Fillon, il a été Premier ministre pendant 5 ans, j’aurai besoin de lui. »

– « Qu’un pays qui est la 5e puissance du monde, puisse avoir autant d’habitants qui soient désespérés, au point de croire Mme Le Pen, ça m’interpelle. J’ai envie d’aller les reconquérir. »

– « Dans ma vie, j’en ai connu des trahisons, mais comme celle-là [celle de Patrick Buisson], rarement. »

– « On a humilié la famille. […] Je n’utiliserai pas la famille contre les homosexuels, comme les homosexuels ont été utilisés contre la famille ».

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Source : Europe1