Roland Oldham © Cedric VALAX
Ce sont désormais 48 membres qui garnissent les rangs du CESC contre 51 auparavant. C’était la décision de l’Assemblée de Polynésie française prise en août dernier.
Victime directe de cette décision, Roland Oldham, président de Moruroa e Tatou, qui perd son siège de membre de la quatrième institution du Pays.
Contacté ce mercredi par Samia Stambouli, il est amer.
Si Moruroa e Tatou perd le seul siège qu’il avait, d’autres représentations, en revanche, restent au CESC. Les pêcheurs côtiers et hauturier, la chambre de l’agriculture de la pêche lagonaire qui comptait deux membres n’en plus qu’un.
Du côté de la présidence de l’institution, Jean Tama, n’étant plus membre du CESC, perd de facto son statut de président. Son successeur sera connu mercredi prochain, le 29 janvier.