ACTUS LOCALESÉCONOMIE CESC : Trois hommes et un fauteuil Cédric VALAX 2016-01-21 21 Jan 2016 Cédric VALAX ©Cédric Valax Le 29 janvier, les conseillers du CESC devront élire leur nouveau président. Trois hommes briguent aujourd’hui le perchoir à commencer par Winiki Sage, candidat logique en vertu de l’accord de principe qui prévoit une présidence tournante en faveur des représentants des associations. Face à lui deux syndicalistes pour qui le « gentlement’s agreement » n’existe pas. En tête Angélo Frébault, candidat à sa réélection, et Eugène Sommers, vexé de ne pas avoir été choisi par son collège. La bataille pour la présidence du Conseil économique, social et culturel (CESC) a commencé. La semaine prochaine, le 29 janvier, les conseillers de l’institution éliront leur nouveau président pour une période de deux années. Winiki Sage paraît le mieux placé en vertu d’un accord de principe prévoyant une présidence tournante en faveur des représentants des associations. Il bénéficie également du soutien du patronat prêt à respecter le « gentlemen’s agreement ». Mais il sera opposé à deux autres candidats déclarés, issus du collège des salariés. Là encore, en toute logique, la candidature aurait dû revenir à Eugène Sommers (CSIP) en raison d’un autre « gentlemen’s agreement » interne à son collège et instituant une présidence tournante entre syndicats. Mais la CSTP-FO a décidé de faire cavalier seul en soutenant le président sortant Angélo Frébault qui a récolté neuf voix. Reste que pour Eugène Sommers tout est encore jouable malgré les cinq voix pour le soutenir. [zoomsounds_player source= »https://www.radio1.pf/cms/wp-content/uploads/2016/01/CESC-Sommers-1.mp3″ config= »default » playerid= »194420″ waveformbg= » » waveformprog= » » thumb= »https://www.radio1.pf/cms/wp-content/uploads/2016/01/Eugene-Sommers-CdC.jpg » autoplay= »off » cue= »on » enable_likes= »off » enable_views= »off » songname= » » artistname= »©Cédric Valax »] Angélo Frébault estime pour sa part que « l’on est en démocratie » et qu’aucun gentlemen’s agreement n’étant gravé dans le marbre du règlement intérieur, rien de l’empêche de se présenter, quitte à froisser son propre camps. Il concède toute fois être prêt à modifier les règles mais uniquement s’il est élu. [zoomsounds_player source= »https://www.radio1.pf/cms/wp-content/uploads/2016/01/CESC-Frebault-1.mp3″ config= »default » playerid= »194421″ waveformbg= » » waveformprog= » » thumb= »https://www.radio1.pf/cms/wp-content/uploads/2016/01/Angelo-Frebault-CdC.jpg » autoplay= »off » cue= »on » enable_likes= »off » enable_views= »off » songname= » » artistname= »©Cédric Valax »] Beau joueur, Winiki Sage s’amuse de la situation et finit même par concéder qu’il comprend Angélo Frébault. Reste que le candidat officiel du collège de la vie collective sait qu’il peut compter sur le patronat. [zoomsounds_player source= »https://www.radio1.pf/cms/wp-content/uploads/2016/01/CESC-Sage.mp3″ config= »default » playerid= »194422″ waveformbg= » » waveformprog= » » thumb= »https://www.radio1.pf/cms/wp-content/uploads/2016/01/Winiki-Sage-CdC.jpg » autoplay= »off » cue= »on » enable_likes= »off » enable_views= »off » songname= » » artistname= »©Cédric Valax »] Un quatrième nom circule de façon insistante au CESC. Il s’agit de celui de Tepuanui Snow, candidat malheureux face à Winiki Sage. Interrogé jeudi, il n’a ni voulu confirmer, ni infirmer cette information. Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)