Alors que la Polynésie française est confrontée à une nouvelle épidémie avec l’arrivée du chikungunya et que le Pays demande à la population de se protéger des piqures de moustiques, pourquoi ne pas passer les produits répulsifs en produits de première nécessité? Une solution qui aurait le mérite de les mettre à la portée de toutes les bourses.
Cette question nous l’avons posée au ministre de la Santé. Sans trop s’avancer, Patrick Howell explique y réfléchir sans donner de réponse précise. Il va falloir consulter.
En attendant, il est demandé à la population de bien veiller à détruire les gîtes à moustiques et à se protéger autant que faire ce peut.