Le carton planétaire de « Cheerleader » a lancé la carrière d’Omi. Remixées par Felix Jaehn, les vibes reggae du titre de l’artiste jamaïcain ont pris d’assaut les charts du monde entier. L’hymne des clubs est resté numéro un des ventes durant neuf semaines en France et a battu des records en streaming. Résultat, il est devenu le deuxième gros tube de l’année 2015 dans l’hexagone ! Seul « Lean On » de Major Lazer a fait mieux. Dans le reste du monde, le succès de « Cheerleader » a été similaire. Le titre d’Omi a décroché la première place des ventes dans plus d’une vingtaine de pays dont les États-Unis, le Royaume-Uni ou l’Australie. Bref, un triomphe.

Malheureusement, le chanteur jamaïcain n’a pas su tirer profit de sa fulgurante popularité. « Hula Hoop », son deuxième single, n’a guère brillé dans les charts et son premier album « ME 4 U », sorti en octobre, est passé complètement inaperçu. Plusieurs titres de l’album, garni de titres électro-pop dansants et calibrés pour les discothèques, ont pourtant le potentiel pour devenir des hits. Parmi eux ? « Color Of My Lips », duo partagé avec le chanteur de dancehall Busy Signal, et « Drop in the Ocean ». Ça tombe bien, c’est justement ce morceau qui vient justement d’être chargé de défendre les couleurs du disque…

« Drop in the Ocean » est le fruit d’une collaboration avec le producteur suédois AronChupa. Son nom vous est familier ? Bien vu ! C’est à cet ancien joueur professionnel de football que l’on doit la bombe dancefloor « I »m An Albatroz » (2015), dont le clip cumule 420 millions de vues sur YouTube. Quand deux hitmakers unissent leurs forces, le résultat est forcément explosif ! Dans leur clip, Omi et AronChupa jouent les tombeurs de ces dames. Glissé dans un costume blanc, le chanteur jamaïcain enchaînent sourires et pas de danse à la Michael Jackson. Les naïades qui l’accompagnent, en maillot de bains, semblent bien déterminées à ne pas les laisser s’ennuyer…. Chaud devant !

Regardez le nouveau OMI « drop in the ocean ».

Et AronChupa

(Source : PureCharts.fr)