Jeudi, ce sont 650 voyageurs qui sont restés sur le carreau, les 43 aéroports dont la gestion est assurée par le Pays n’ayant pas pu faire décoller d’avions.
Les clients qui ont acheté leur séjour au salon du tourisme vont donc le perdre, sauf si Air Tahiti et les hôtels et pensions consentent à faire un geste en remboursant ou décalant leur séjour, les tours opérateurs ont fait explicitement savoir qu’ils en ont marre de la Polynésie…
Pour Franck Guillot, président de la FHIP, la Fédération de l’hôtellerie indépendante, c’en est trop. Il pousse un coup de gueule et dénonce un assassinat économique. En podcast, on l’écoute :
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