À la veille de la rentrée scolaire, la direction de la santé a rassemblé ses moyens au vaccinodrome de la présidence, plus aéré que d’autres sites. Face à une éventuelle vague de contamination par le variant Omicron au cours du mois de janvier, le message reste d’appliquer les gestes barrière en toutes circonstances.
Par précaution face à la circulation du variant Omicron, la direction de la santé a ouvert depuis mercredi le vaccinodrome de la présidence de 8 heures à 15 heures. Entre mercredi et vendredi le nombre de rappels était quasiment le double de celui de primo-injections à la présidence. Pour rappel, toute personne majeure peut recevoir une troisième dose si l’injection précédente date d’au moins quatre mois nous indique Daniel Ponia, responsable de la vaccination contre le Covid-19 à la direction de la santé.
Le personnel soignant toujours au front
Personnels soignants employés ou bénévoles assurent les tours de garde sans sourciller pour permettre à la population qui se déplace, à la fois de se faire vacciner et d’imprimer son QR code lorsque toutes les pièces sont réunies. Attention à respecter le sens de circulation sous le grand chapiteau : depuis l’entrée côté montagne jusqu’au portail côté Haut-Commissariat. Il y a aussi un stand pour répondre aux personnes qui sont dans l’urgence d’obtenir leur pass sanitaire et qui n’y sont pas parvenus via internet, ainsi qu’un stand pour les personnes à mobilité réduite. Le vaccinodrome est encore ouvert ce week-end.
Masque, gel, vaccin : les mêmes armes contre une éventuelle vague de Omicron
Le message principal de Daniel Ponia, responsable de la vaccination contre le Covid-19 à la direction de la santé : « appliquez, respectez les gestes barrière : port du masque distanciation sociale, lavage des mains. Il faut tout faire pour éviter la transmission, ni recevoir ni donner le Covid. » Sans oublier que les personnes vaccinées n’en sont pas exemptées : au micro il est rappelé que la vaccination n’empêche pas la transmission, elle protège des formes graves de la maladie. Si vague de variant Omicron due aux vacances il y a, il faudra attendre la fin du mois de janvier pour la constater estime Daniel Ponia.