Une destruction médiatisée afin de rappeler l’importance de ce qu’il convient de considérer comme un fléau économique.
Des précisions avec Marc Jannier directeur des douanes de Polynésie :
Aujourd’hui c’est plus le fait de particuliers que d’un véritable réseau de trafiquants de contrefaçons. Un tassement dû, selon les services des douanes, à la forte action d’information développée par la douane en liaison avec ses partenaires comme la CCISM.
A rappeler que le trafic commercial de contrefaçons est passible de poursuites judiciaires lourdes, pouvant aller jusqu’à 10 ans de prison. Un particulier verra sa marchandise contrefaite confisquée et le payement d’une amende comprise entre une à deux fois la valeur de l’objet de fraude.