« D’abord, je n’en ai pas envie et, même si j’en avais envie, je ne crois pas que ce serait possible. » © REUTERS
« Dans la rue, les gens m’arrêtent et me disent : ‘on a besoin de vous’. C’est sympathique mais pas forcément représentatif », confie l’ex-patron du FMI au Parisien.
« La politique, c’est derrière moi », confie Dominique Strauss-Kahn, selon des propos rapportés vendredi par le Parisien. Selon l’ex-patron du FMI, ce n’est tout simplement pas possible : « D’abord, je n’en ai pas envie et, même si j’en avais envie, je ne crois pas que ce serait possible. » Pourtant, « DSK » assure encore bénéficier d’une certaine popularité.
« Dans la rue, les gens m’arrêtent tous les 50 m et me disent : ‘on a besoin de vous’. C’est sympathique et excellent pour l’ego, mais pas forcément représentatif. Il y en a peut-être autant qui pensent l’inverse mais n’osent pas traverser la rue pour me le dire », se justifie l’ancien éléphant socialiste.
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