Une taxe mise en place sous forme de caisse, par les fabricants locaux de monoï, est aujourd’hui utilisée pour la promotion du monoï à l’international. Aujourd’hui des discussions sont entamées avec l’huilerie de Tahiti et le Pays.
Il serait question de diminuer cette taxe que s’imposent les professionnels pour compenser la hausse de prix des matières premières.
Le président du Groupement interprofessionnel du monoï de Tahiti, Daniel Langy parle pour sa part d’une erreur de jugement on l’écoute :
Rappelons que l’augmentation que subissent les producteurs de monoï s’élève à 35% cette année.
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