3 Commentaires

1. 

   iritahua

   19 juin 2014 à 7h09 — Répondre

   Ia orana,
   LAISSER, le mémorial là ou il est, c’est un endroit super pour.

2. 

   Pedro Hasta

   19 juin 2014 à 8h18 — Répondre

   Etant un ancien travailleur du CEA, et ayant séjourné à Mururoa pendant plus de vingt années, je ne connais pas UN SEUL Polynésien ayant eu des problèmes de santé dus à une maladie radio induite. Donc, avoir édifié un monument à la mémoire de « victimes fantômes » me parait particulièrement déplacé. Par contre, je propose que la Brasserie de Tahiti édifie un monument à la mémoire des MILLIERS DE VICTIMES DE L’ALCOOLISME depuis 1960. Ce serait la moindre des choses, compte tenu des énormes profits qu’elle a réalisés pendant cette période sans la moindre retombée pour le pays.
   C’est une idée à proposer à l’association Moruroa e tatou.

3. 

   Claudine Goche

   20 juin 2014 à 6h34 — Répondre

   Bien que je ne partage pas tous les points, je trouve que le devoir de mémoire est indispensable. Cette partie de notre histoire ne doit pas être occultée, elle fait partie de notre patrimoine.