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Jean-Pierre Laflaquière : « je ne suis pas parti »

Jean-Pierre Laflaquière : « je ne suis pas parti » © Stéphanie BRIAS

Jean-Pierre Laflaquière : « je ne suis pas parti » © Stéphanie BRIAS

C’est ce qu’a déclaré le Haut-commissaire Jean-Pierre Laflaquière ce vendredi, alors en visite au Service du Patrimoine Archivistique et Audiovisuel à Tiperui. Une fonction qu’il occupera pour encore un mois.

En effet, malgré sa demande récente de poursuivre pour une année encore son séjour en Polynésie, selon la Dépêche du 8 juillet, l’actuel représentant de l’État, en poste depuis un an, a été admis à faire valoir ses droits à la retraite par un décret du président de la République française.

Toujours en poste, le haut commissaire était donc au Service du Patrimoine Archivistique et Audiovisuel ce vendredi. Il n’ignore plus rien des difficultés d’archivages dont ce service est confronté, depuis la refonte de nombreux établissements d’Etat et du Pays. Lieu de stockage mais aussi de sauvegarde du patrimoine intellectuel polynésien.

Parmi les 16km de linéaire, les archives de l’Etat en représente 5.

On écoute le Haut-commissaire après sa visite de cette dernière (dans notre podcast).

Des tonnes de documents officiels doivent encore être indexés et numérisés. Une occasion d’exposer les doléances de ce service  face au représentant de l’Etat, même si ces demandes seront à renouveler auprès de son successeur.

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4 Commentaires

  1. 13 juillet 2013 à 21h16 — Répondre

    "Il n'ignore plus rien des difficultés d'archivages AUXQUELLES ce service est confronté" et non pas "dont" ! C'est un peu limite, comme faute de syntaxe…

  2. 13 juillet 2013 à 21h22 — Répondre

    A l'aise, c'est la Saint Axe aujourd'hui!

  3. 14 juillet 2013 à 4h27 — Répondre

    parfois on pourrait même dire que c'est du lourd!!!!

  4. Invité
    14 juillet 2013 à 10h28 — Répondre

    ce service n’est pas efficace vu de l’extérieur. Certaines archives étaient disponibles sur le net. Ils n’ont pas manqué de le faire savoir par voie de presse. Quelques temps après, leur site est HS pour « maintenance ». J’appelle ce service. On me dit d’abord que rien n’est accessible par Internet et que ça n’a jamais été le cas (« sic »). Je réponds « mais il y a deux jours j’y avais accès » Réponse: « ah bon ? » RIDICULE

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