PACIFIQUE:
Ian a ravagé Tonga et fait une victime
Une mère de famille de 51 ans a perdu la vie ce samedi lors du passage du cyclone au niveau de Lifuka, l’une des plus touchée. Selon la police locale, elle aurait été frappée à la jambe par une tôle ondulée arrachée d’un toit. Malgré les conditions extérieures, sa famille est parvenue à la transporter à l’hôpital mais cette maman de trois enfants n’a pas survécu à ses blessures.
Le bilan des dégâts ne fait pas état d’autres décès. Un bon nombre des iles que compte Tonga ont été totalement dévastée. Les toits des maisons et de nombreux arbres ont été arrachés. Les routes sont encore, impraticables. Les secours s’organisent déjà sur place, avec l’aide de la Croix Rouge. La Nouvelle Zélande a envoyé des militaires et du matériel pour venir en aide à la population locale.
SOCIÉTÉ:
Moustique: la lutte commence aujourd’hui à Pirae
Plusieurs brigades formées dans le cadre de cette lutte anti-vectorielle, quadrilleront la commune et se présenteront dans chaque foyer. La période des visites devrait durer environ deux mois, elles seront réalisées le matin de 8h à 11h30, du lundi au vendredi. Les agents communaux seront reconnaissables à leur chasuble. Une fois cette recherche de gîtes terminée, le Centre d’Hygiène et de Salubrité Publique mettra en place la pulvérisation des insecticides et larvicides. Pour toute question sur la lutte anti-vectorielle, vous pouvez contacter le standard téléphone de la cellule de crise de Pirae au 50 80 70.
Cardella déménage à Punaauia
Vétuste et sans possibilité d’agrandissement, la clinique à trois ans pour réaliser son projet précise l’arrêté publié ce vendredi au Journal officiel de la Polynésie française et qui autorise son changement d’implantation. Exit Papeete, la clinique Cardella s’installera au PK 9,6 à Punaauia sur les terres Vaipoopoo. La capacité du futur établissement sera de 76 lits d’hospitalisation complète et 23 places d’hospitalisation à temps partiel de jour dans les services de médicine, chirurgie et gynécologie-obsétrique
Elles se sont dit oui
Le premier mariage de deux polynésiennes a été célébré ce samedi à la mairie de Papeari par le maire Jonas Tahuaitu. Un maire mais aussi un député qui, à l’Assemblée nationale, avait voté contre le projet de loi ouvrant au mariage pour tous.Mais samedi il ne s’agissait pas de politique mais bien d’amour, et prônant le respect de la démocratie le député maire à donc uni ces deux polynésiennes d’une quarantaine d’année qui vivent ensemble depuis plus de 20 ans.
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