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Mecredi soir, les membres du syndicat des gérants de station service et la direction de Total n’étaient toujours pas parvenus à trouver un terrain d’entente dans le conflit qui les oppose.

A l’issue des négociations, un seul point faisait toujours l’objet d’un désaccord : les indemnités de départ des gérants. Ces derniers réclament une indemnité en cas de rupture de contrat. La direction de Total a consenti à en inclure une dans le contrat mais, selon certains gérants, cette indemnité n’est pas suffisante.

En cas d’échec des négociations, les gérants de 11 des 22 stations Total de Polynésie pourraient tout bonnement décider de fermer leurs portes ce jeudi matin.