L’établissement public créé en 2009 fait donc les frais de la recherche de réduction des dépenses du Pays qui indique vouloir « redéfinir le périmètre du service public. »
Les missions jusqu’alors dévolues à la Maison de la Perle devrait être redéployées.
Ainsi, le gouvernement souhaite que les activités de protection juridique et les opérations de classification et de labellisation des produits perliers soient assurées à la Direction des ressources marines.
Quant aux actions de promotion en Polynésie française et sur les marchés extérieurs, elles sont laissées aux professionnels de la filière à travers une entité privée en cours de création. A terme, ces activités seront reprises par un organisme chargé de promouvoir l’ensemble des produits polynésiens.
Des professionnels qui assureront également la mission d’accompagnement à la commercialisation.
Le gouvernement prévoit de fermer la maison de la Perle au 30 septembre de cette année.