ACTUS LOCALESFRANCEINTERNATIONALPOLITIQUE La Première ministre Élisabeth Borne démissionne Europe1 2024-01-08 08 Jan 2024 Europe1 Elizabeth Borne n'est pas la Première ministre. Alors que les rumeurs sur un changement de gouvernement allaient bon train depuis plusieurs jours, la Première ministre Elisabeth Borne a remis la démission du gouvernement central à Emmanuel Macron ce lundi, et ce dernier l’a acceptée. Avec notre partenaire Europe 1. La Première ministre Élisabeth Borne a remis la démission de son gouvernement à Emmanuel Macron, qui l’a acceptée et a tenu à la remercier. « Votre travail au service de notre Nation a été chaque jour exemplaire. Vous avez mis en œuvre notre projet avec le courage, l’engagement et la détermination des femmes d’État. De tout cœur, merci », a salué le président. La Première ministre quitte donc son poste après plus d’un an et demi à Matignon. Dans sa lettre de démission, l’ex-cheffe du gouvernement juge « plus que jamais nécessaire de poursuivre les réformes ». Madame la Première ministre, chère @Elisabeth_Borne, votre travail au service de notre Nation a été chaque jour exemplaire. Vous avez mis en œuvre notre projet avec le courage, l’engagement et la détermination des femmes d’État. De tout cœur, merci. pic.twitter.com/G26ifKfKzj — Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) January 8, 2024 Elizabeth Borne était devenue, en mai 2022, la deuxième femme seulement à occuper ce poste. Qui sont les prétendants à Matignon ? S’il s’avère qu’Elisabeth Borne ne sera plus dans les prochaines heures locataire de Matignon, plusieurs noms circulent pour lui succéder. Julien Denormandie, ancien ministre et directeur adjoint de son cabinet lorsqu’il était à Bercy, mais aussi l’ancien ministre de l’Outre-mer et actuel ministre des Armées Sébastien Lecornu, membre du premier cercle du président, ou encore Gabriel Attal, actuel ministre de l’Éducation nationale. Les autres ministres menacés Avec le remaniement à venir, d’autres ministres sont également menacés. Notamment les réfractaires à la loi immigration, issus de la gauche, comme Rima Abdul Malak à la Culture ainsi que Clément Beaune aux Transports. Emmanuel Macron pourrait les remplacer par des députés de la majorité élus ou réélus en 2022 : les noms de Maud Bregeon, de Karl Olive, ou de Naïma Moutchou, proche d’Edouard Philippe, sont régulièrement cités. Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tags:BorneFRANCEgouvernementmacronpolitique