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La répression se renforce contre les « runs » sauvages

A compter de ce jour et suite à la loi n° 2018-701 du 3 août 2018 applicable en Polynésie, le fait de participer à des « runs » sauvages constitue désormais un délit puni d’un an à cinq ans d’emprisonnement et de 1 789 976 à 8 949 880 Fcfp d’amende. La confiscation du véhicule et l’annulation du permis de conduire sont également possibles.

Désormais, le fait de participer à des « runs » sauvages constitue un délit puni d’un an à cinq ans d’emprisonnement et de 1 789 976 à 8 949 880 Fcfp d’amende. De plus, la confiscation du véhicule et l’annulation du permis de conduire sont également possibles. Les maires pourront, en lien avec les services de police et de gendarmerie, donner les instructions qu’ils jugeront utiles à leur police municipale pour améliorer la prévention mais aussi permettre la répression

A l’origine, ce dispositif concernait essentiellement la métropole, mais la députée Maina Sage a fait voter courant juillet, à l’Assemblée nationale,  un amendement étendant à la Polynésie française la proposition de loi contre les « rodéos motorisés ». Ce qui est désormais acté.

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