ACTUS LOCALESSOCIAL Le « Collectif pour la défense animale » déjà fermé Veihi Tupai 2017-08-02 02 Août 2017 Veihi Tupai © Quito Braun-Ortega C’est déjà la fin pour le « Collectif pour la défense de la cause animale en Polynésie française » d’Enrique « Quito » Braun-Ortega. Le collectif avait tout de même proposé, pendant ses deux mois et demi d’existence, une « aide à la stérilisation » et une « aide à l’identification ». Près de deux mois et demi d’activité, c’est la courte durée de vie du « Collectif pour la défense de la cause animale en Polynésie française » lancée par l’ancien élu de Tarahoi et chef d’entreprise, Quito Braun-Ortega. Mardi soir, il écrivait sur le compte Facebook du collectif : « Comme il est inutile de laisser traîner une décision, je vous informe que le collectif arrêtera définitivement son activité à compter d’aujourd’hui. » Les missions du collectif étaient pourtant ambitieuses. La protection et la sauvegarde des animaux au fenua, la sensibilisation et l’éducation des « polynésiens » à la cause animale et la mise en œuvre de « toutes les mesures nécessaires pour résoudre l’ensemble des problèmes liés à la surpopulation animale ». Le 15 mai dernier QBO annonçait le lancement des activités du collectif grâce à son « premier budget de démarrage sécurisé jusqu’au 31 décembre 2017 ». Il projetait même une prise en charge « totale » de la stérilisation de chiens et de chats en Polynésie « pour une durée totale de 5 années ». Aide à la stérilisation Le collectif a proposé une « aide à la stérilisation » des chats et des chiens qui allaient de 5 000 à 22 000 Fcfp. Mais les difficultés se sont multipliées, « difficultés de communication », « dérapages » dans l’encaissement de l’aide à la stérilisation, critiques pour l’absence de prise en charge des animaux errants… Pour autant, l’administrateur du Collectif choisi d’étendre ses activités avec « l’aide à l’identification » réalisée par tatouage uniquement pour les chiens. Malgré tout, le 31 juillet dernier le Collectif est devenu « inactif » pour une durée indéterminé. QBO, qui n’a pas souhaité s’exprimer, avait alors déjà prévenu ses membres sur le compte Facebook du collectif : « Finalement, je me demande si j’ai bien fait de créer ce ‘collectif’, les désagréments qui en découlent, commencent à atteindre les limites de ma tolérance… ! ». Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tags:Collectif pour la défense animale en Polynésie françaiseQuito Braun-Ortega