Les temps sont durs et le secteur de la culture n’est pas épargné. Après une rallonge de 25 millions Fcfp accordée lors du dernier collectif budgétaire le Conservatoire artistique de Polynésie française retrouve un second souffle. Mais l’année sera tout de même difficile.
Les précisions avec Tamara Sentis
Pour se financer, le conservatoire tire ses revenus des cotisations de ses élèves mais également de la location de ses locaux et de la vente de billets des spectacles qu’il produit.