Le juge des référés a renvoyé lundi matin à la semaine prochaine, « pour plaidoirie », le référé demandant l’expulsion de l’activiste foncier, Joinville Pomare, des terrains de Miri à Punaauia. De son côté, Joinville Pomare a consenti à laisser travailler une entreprise de réseaux sur les terrain qu’il occupe.
Une nouvelle fois, le juge des référés a renvoyé au lundi 18 septembre prochain la demande d’expulsion de Joinville Pomare des terrains de Miri à Punaauia. Mais cette fois-ci, le juge a renvoyé l’audience « pour plaidoirie ». Ce qui signifie que les avocats échangeront leurs arguments la semaine prochaine, avant que l’affaire ne soit mise en délibéré.
De con côté, Joinville Pomare continue de bloquer l’accès aux terrains de Miri, sur les hauteurs du Lotus à Punaauia. L’activiste a néanmoins consenti à laisser passer une société de réseaux qui doit poser des conduites. « Ça fait du travail pour les ouvriers, on n’est pas là pour les empêcher de travailler », expliquait lundi matin Joinville Pomare.