2 Commentaires

1. 

   VESCO

   11 septembre 2012 à 6h01 — Répondre

   C’est malheureux, très même, mais ici cela ne m’étonne pas! Pourtant éduquer quelques centaines de milliers d’habitants ne semble pas aussi compliqué que des millions dans les autres pays. Qui leur apprend à marcher du bon côté de la route (en sens inverse à la circulation pour les piétons)? Personne, ni les gendarmes, ni les parents. Par contre à l’inverse, les vélos en contre-sens là ça y va. Déjà le jour c’est pénible, mais alors la nuit, à deux en contre-sens c’est monnaie courante. La gendarmerie peut-elle nous fournir les statistiques des PV infligé aux vélos en contre-sens la nuit? Non. Pourquoi? -j’en ai discuté avec des gendarmes: pas rentable, les utilisateurs ne sont pas solvables!!! Nous par contre, usagers motorisés alors là pas de soucis. A coup de 16 000 F pour 5 km/h de trop ou autres faibles infractions: on peut payer. Pourquoi alors ne pas confisquer les bicyclettes des a contrevenants en contre-sens, ou sans lumière déjà, ou les deux?!
   A Raiatea sur 10 kms la nuit, ça m’est arrivé de croiser plus de 20 vélos en contravention. Et pas une seule fois en 28 ans de résidence ici je n’ai vu un gendarme arrêté un cycliste!!!
   VESCO

2. 

   pascal

   11 septembre 2012 à 20h32 — Répondre

   Mais non Vesco. Tu sais bien que dans ce 21ème siècle, ce sont les jeunes qui éduquent les vieux. On devrait même supprimer le mot CIVISME. A quand le retour de l’éducation civique à l’école. Comment faire revenir dans l’esprit de chacun les notions de règles, de devoirs, de politesse et de courtoisie. Eh oui c’est bien malheureux!