ACTUS LOCALESSOCIAL Les associations de quartier dénoncent la complexité des procédures administratives Elodie Largenton 2017-02-09 09 Fév 2017 Elodie Largenton Naumi Tapi ©Elodie Largenton Les demandes de subventions sont trop longues et trop compliquées, regrettent les petites associations qui bénéficient du Contrat de ville. Elles ont fait part de leurs requêtes aujourd’hui, à la présidence, au ministre du Logement, de l’aménagement et de l’urbanisme, Jean-Christophe Bouissou. Des subventions versées avec beaucoup de retard, des procédures trop lourdes, des dossiers de financement compliqués à remplir… Les associations de quartier des communes urbaines de Tahiti et de Moorea rencontrent toutes les mêmes problèmes. Pour pouvoir bénéficier pleinement du Contrat de ville et monter des projets qui répondent aux besoins des habitants des quartiers prioritaires, il faudrait simplifier les démarches. Une requête relayée notamment par Naumi Tapi, membre active de l’association Hotuarea Nui, à Faa’a. Les procédures sont tellement compliquées qu’elle préfère parfois aller chercher des financements ailleurs, rapporte-t-elle. [zoomsounds_player source= »https://www.radio1.pf/cms/wp-content/uploads/2017/02/Contrat-de-ville-Naumi.mp3″ config= »default » playerid= »263707″ waveformbg= » » waveformprog= » » thumb= » » autoplay= »off » cue= »on » enable_likes= »off » enable_views= »off » songname= » » artistname= » »] Son association délivre des formations dans le secteur de l’agriculture, travaille à l’insertion par l’activité économique, et monte des projets d’animation périscolaire. Cette année, Naumi Tapi va se battre plus particulièrement « contre le décrochage scolaire ». Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tags:AssociationContrat de villesubventions