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Les secours passent la zone de Toau « au peigne fin »

© Cédric Valax

Le navigateur Suisse, Laurent Bourgnon, est toujours porté disparu depuis mercredi matin au large de l’atoll de Toau aux Tuamotu. L’hélicoptère Dauphin, l’avion Gardian et six navires mènent les recherches sur place. Le MRCC Papeete fait d’ailleurs appel aux à « toutes les bonnes volontés » pour assister les secours dans leurs recherches.

Les efforts ne faiblissent pas pour tenter de retrouver le navigateur Suisse, Laurent Bourgnon, disparu en mer depuis une plongée au large de l’atoll de Toau mercredi matin. Les recherches menées par l’hélicoptère Dauphin ont duré jusqu’à 20h35 mercredi soir grâce aux moyens de vision nocturne de l’hélicoptère. Elles ont ensuite repris au lever du jour, appuyées par l’arrivée du Gardian des forces armées de Polynésie française et le renfort de plusieurs embarcations. Deux bateaux de plongée, un bateau de la Fédération d’entraide polynésienne de secours en mer (FEPSEM), l’embarcation de secours de l’aéroport de Fakarava et les deux embarcations annexes qui équipaient le bateau du skipper Laurent Bourgnon sont sur la zone située à 400 km de Tahiti. Le MRCC, qui coordonne les secours, a élargi la zone de recherche à l’extérieur du lagon sur une superficie de près de 800 km² (20 km sur 40 km). Les recherches sont également menées sous la mer, où quatre plongeurs fouillent la zone proche de la passe nord-est de Toau. « Tout doit être passé au peigne fin », affirme le directeur du MRCC, Clément Jacquemin.

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Des secours qui bénéficient d’excellentes conditions météorologiques, tant dans les airs que sur et sous la mer avec une visibilité optimale.

Appel aux bonnes volontés

Ces recherches pourraient être renforcée par de nouveaux moyens maritimes privés. Le MRCC fait appel à toutes les bonnes volontés, mais insiste pour être prévenu de la présence de tous nouveaux bateaux engagés sur la zone. Les bateaux devront impérativement être équipés de moyens de communication (VHF/Téléphone satellite) pour une bonne coordination des secours et pour éviter tout sur-accident, prévient le directeur du MRCC Papeete, Clément Jacquemin.

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