L’accord prévoit la mise en œuvre de concours d’intégration dont le principe avait été approuvé par le conseil supérieur de la fonction publique. Ce dispositif sera présenté dès lundi au CESC (Conseil Économique Social et Culturel) avant d’être transmis à l’Assemblée de la Polynésie française.
Les agents ne dérogeront donc pas aux règles et aux principes qui régissent toute entrée dans la fonction publique, laquelle doit être sanctionnée par un concours.