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Licence et CAPES de reo maohi : la fin des débouchés ?

(image d'illustration) © DR

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28,4% de la population de 15 ans et plus, parle tahitien à à la maison, selon les chiffres de l’ISPF. Plus on s’éloigne de la capitale, et plus ce chiffre grimpe. La langue tahitienne est encore bien vivante.

A l’université où le reo est enseigné depuis près de 20 ans maintenant, il y a toujours autant d’inscriptions…Trop sans doute aujourd’hui compte tenu des débouchés que peut offrir la filière.

Un reportage de Vaite Urarii Pambrun. (Dans notre podcast)

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