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L’IEDT défend le « miracle » libéral néo-zélandais

Stéphane Chin Loy, président de la CCISM, entouré de Gérard Kochersperger et Patrick Fincker, de l’Institut économique de Tahiti (IEDT). © Benoît Buquet

L’Institut économique de Tahiti (IEDT), un think tank libéral polynésien, invite Christopher Finlayson, ancien ministre néo-zélandais de centre droit, pour un dîner-débat, jeudi 7 mars à l’Intercontinental.

Le « miracle néo-zélandais », c’est le titre du dîner-débat, le 7 mars à 19 heures à l’Intercontinental (12 000 Fcfp l’entrée), avec Christopher Finlayson, ex-ministre de la justice en Nouvelle-Zélande, la CCISM, et l’Institut économique de Tahiti un think tank, qui défend le libéralisme économique en Polynésie française. L’objectif de l’IEDT est de défendre le concept libéral de la « rule of law », la liberté économique inscrite dans la loi.

Patrick Fincker, co-président de l’IEDT, a annoncé lundi matin : « Christopher Finlayson est de centre droit mais il considère que le gouvernement socialiste de David Lange en 1984 est le meilleur gouvernement que la Nouvelle-Zélande ait jamais eu ». Et d’expliquer que, en 1984, en Nouvelle-Zélande, « un gouvernement labor, c’est-à-dire socialiste, a pris des décisions courageuses qui ont bouleversé l’économie néo-zélandaises, les taxes ont été réduites à zéro et de nombreuses compagnies ont été privatisées ».

L’Institut économique de Tahiti propose la « rule of law », le libéralisme inscrit dans la loi, comme mode de gouvernance économique en Polynésie française.

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L’Institut économique de Tahiti est un think tank libéral. Il défend « la quasi-suppression des droits de douane, l’impôt sur le revenu simplifié et réduit pour les revenus les plus élevés, la liberté des échanges, la réduction du périmètre du secteur public et des dépenses publiques et la quasi-suppression des subventions à l’industrie ».