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Logements sociaux et grands hôtels au programme de TCK Green buildings

©Delphine Barrais

Le ministre du Tourisme et de la Relance économique, Jean-Christophe Bouissou, a reçu mardi une délégation de la société chinoise TCK Green Buildings. Au programme de ces investisseurs, la concrétisation du projet de construction de 1 000 logements sociaux signé avec le Pays l’année dernière et surtout la possibilité de construire plusieurs infrastructures hôtelières.

À la tête de la délégation chinoise, Wang George, président de TCK Green Technology. Une société spécialisée dans la construction de bâtiments collectifs en matériaux préfabriqués. La société a d’ailleurs développé sa propre technologie pour ses constructions dites « ecofriendly ». L’année dernière, cette même société était venue en Polynésie pour étudier les besoins du Pays en logements sociaux. Un projet pour la construction de 1 000 premiers logements a été acté et c’est donc dans ce cadre que la délégation est à Tahiti. Mais la construction de collectifs pour le Pays n’est pas la seule raison de ce déplacement. TCK Green Buildings souhaite également investir dans des complexes hôteliers.

Ministre du Tourisme et de la Relance économique, Jean-Christophe Buissou à accueilli les investisseur mardi matin pour une réunion de travail. À la sortie de cette rencontre, le ministre a fait le point sur les projets en discussion : un resort au cœur de l’île de Tahiti pour développer le tourisme vert, le terrain du golf de Moorea et la construction d’un complexe à l’image du Mahana Beach.

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La mise en route de ces projets dépendra de la disponibilité de l’assise foncière. Un sujet qui a été abordé mardi matin. Pour Jean-Christophe Buissou, TCK a une « approche assez particulière ».

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De son côté le président de TCK Green Buildings a confirmé son intérêt pour la Polynésie qu’il explique grâce aux « rapports amicaux » entretenus avec différents acteurs du fenua. Si les projets se concrétisent Wang George explique qu’il fera venir sa technologie au fenua avec ses ingénieurs mais que la main d’œuvre restera locale pour la construction.