Le dimanche 27 octobre marque le J -1 000 avant les Jeux du Pacifique de 2027 qui se tiendront à Tahiti. Le compte à rebours sera lancé au cours d’une après-midi festive à la Pointe Vénus.
Le maire de Mahina Damas Teuira et le directeur général du Comité organisateur des Jeux du Pacifique, Steeve Raoulx, ont signé ce mardi la convention de partenariat sur la journée « J -1 000 » qui sera organisée le dimanche 27 octobre à la Pointe Vénus.
Des festivités « mêlant sports et traditions » qui débuteront dès 13 heures, avec notamment des activités sportives sous la houlette de l’AS Vénus. Football, beach volley, lutte, basketball, ou encore force athlétique seront à l’honneur. La cérémonie débutera à 15h30, avec une arrivée de pirogues sur la pointe avant une bénédiction traditionnelle, et la révélation du logo des Jeux 2027. Un tamure marathon puis un spectacle de danse suivront, jusqu’à 20 heures.
Pour tavana Teuira, qui était membre de l’organisation des Jeux de 1995, « c’est un honneur » d’accueillir cette cérémonie à Mahina. « Mahina veut accueillir quatre disciplineS, ajoute le maire. Je crois qu’on va accueillir le taekwondo, le fotball, la lutte et une partie peut-être de la voile à la pointe Vénus, on n’est pas encore calé à ce niveau-là. Mais on fera en sorte de faire honneur aux principes de l’olympisme. Ce sont des bonne valeurs d’entraide, de compétition, de respect. »
Steeve Raoulx, lui, considère que le choix de la pointe Vénus, lieu d’arrivée des premiers navigateurs, allait de soi : « on souhaitait donner à ces J -1 000 ce cachet du voyage transpacifique. » Au moins deux événements de ce type sont prévus chaque année, afin de construire et maintenir l’engouement pour cette grande fête du sport.
Pas d’inquiétude sur les délais
Le directeur général du COJ ne s’inquiète pas des retards probables sur les chantiers des sites retenus, évoqués la semaine dernière par la ministre des Sports Nahema Temarii. « C’est le séquençage et le timing qui posent question, reconnait-il. On va tous se retrousser les manches. Il nous appartiendra de négocier avec le PGC (Pacific Games Council, ndr) les délais supplémentaires de livraison des infrastructures. »