4 Commentaires

1. 

   Brice NEHAM

   10 mars 2016 à 8h20 — Répondre

   La municipalité de Moorea est bien placée pour mesurer avec Maiao, les inconvénients du repli sur soi. Le développement économique ne signifie pas systématiquement pollution et dégradation de la nature. Il suffit d’imposer comme dans beaucoup de port que les bateaux soient reliés au circuit d’évacuation des eaux noires, circuit que l’on aura bien sûr pris la peine d’installer à la construction. des quais. Même si l’extension n’apporte pas beaucoup d’emplois directs, l es navigateurs eux, en approvisionnant, en faisant l’entretien et les réparations de leurs bateaux, en utilisant les prestataires de circuit à terre, en achetant de l’artisanat en guise de souvenir, font vivre beaucoup de personnes locales. Ce refus revoie une très mauvaise image de l’accueil polynésien. Il est bien dommage que écologistes et indépendantistes aient une vision passéiste et réactionnaire de l’évolution du Pays. Contrairement aux immeubles, les bateaux sont des constructions mobiles et une marina est réversible. Si on en veut plus, les bateaux peuvent facilement quitter les lieux et l’emprise immobilière est faible. La vraie question est: Les élus locaux ont-ils vraiment envie de se bouger le c.l pour le Pays plutôt que de se faire mousser par démagogie ?

2. 

   Brice NEHAM

   10 mars 2016 à 8h24 — Répondre

   La municipalité de Moorea est bien placée pour mesurer avec Maiao, les inconvénients du repli sur soi. Le développement économique ne signifie pas systématiquement pollution et dégradation de la nature. Il suffit d’imposer comme dans beaucoup de port que les bateaux soient reliés au circuit d’évacuation des eaux noires, circuit que l’on aura bien sûr pris la peine d’installer à la construction. des quais. Même si l’extension n’apporte pas beaucoup d’emplois directs, l es navigateurs eux, en approvisionnant, en faisant l’entretien et les réparations de leurs bateaux, en utilisant les prestataires de circuit à terre, en achetant de l’artisanat en guise de souvenir, font vivre beaucoup de personnes locales. Ce refus revoie une très mauvaise image de l’accueil polynésien. Il est bien dommage que écologistes et indépendantistes aient une vision passéiste et réactionnaire de l’évolution du Pays. Contrairement aux immeubles, les bateaux sont des constructions mobiles et une marina est réversible. Si on en veut plus, les bateaux peuvent facilement quitter les lieux et l’emprise immobilière est faible. La vraie question est: Les élus locaux ont-ils vraiment envie de se bouger le cul pour le Pays plutôt que de se faire mousser par démagogie ?

3. 

   tupai

   10 mars 2016 à 13h14 — Répondre

   débiles les anti développement ! Moorea est dans une situation peu enviable et ce projet aurait dopé l’économie, créé de l’emploi et des débouchés nouveaux, mais non, on se concentre sur son pito et tant pis pour les habitants mal conseillés

4. 

   Tam

   10 mars 2016 à 15h34 — Répondre

   Aue tatou e!! La question qu’il faut peut être se poser, c’est que la commune pourrait avoir un projet d’extension de la zone et qu’elle ne veut pas le dévoiler maintenant avec la tension politique actuelle des autonomistes…la proposition du maire de Teavaro pourrait être approfondie, surtout quand on connaît l’état lamentable de la marina de Afareaitu. Les pêcheurs, les plaisanciers et la population de Afareaitu pourrait ainsi profiter d’une marina digne de ce nom.
   Celle de Haapiti qui a été, est et sera fréquentée par des surfeurs internationaux sponsorisés par les plus grandes marques de surf du monde.Voilà d’autres possibilités pour l’île de Moorea.