Le politologue, Sémir Al Wardi, était l’invité du journal de Radio 1 lundi midi. Pour lui, le ralliement de Jacques Raihoa au Tapura signe le retour du « nomadisme politique » que la dernière réforme du mode de scrutin devait pourtant enrayer avec ses mesures anti-instabilité… Citant l’ancien haut-commissaire, Paul Roncière, il reconnaît que : « Les pratiques institutionnelles des hommes politiques polynésiens sont très imaginatives. »
Retrouvez et réécoutez en podcast l’interview de Sémir Al Wardi.
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