Suite aux propos du politologue Sémir Al Wardi sur la liberté de la presse en Polynésie, dans La Dépêche et sur l’antenne de Radio 1 cette semaine, le liquidateur de la société Les Nouvelles de Tahiti, Pierre Marchesini, a souhaité réagir en affirmant :
« Ce qui a été dit ces derniers jours sur la liberté de la presse ne concerne pas Les Nouvelles. La fermeture des Nouvelles a tout simplement été dictée par une bonne conduite de gestion parce que le commissaire aux comptes avait signalé la société en dépôt de bilan. »