Hausse de la CST sur les revenus d’activités non salariées, remise en œuvre de la taxe sur les surfaces commerciales, augmentation du taux de la taxe sur la publicité, hausse de 4% de la TVA pour les prestataires de services, réduction des secteurs éligibles à la défiscalisation… les professionnels sont inquiets.
Pour Gilles Yau, le président de la FGC, ces taxes ne sont pas surprenantes mais ne vont pas dans le bons sens.
Du côté de la CGPME, Christophe Plée regrette certaines mesures et entends bien défendre ces adhérents en tentant de faire inscrire des amendements aux textes avant leur adoption.
Un bilan mitigé, toujours pour la CGPME, qui note également quelques bonnes mesures regrettant tout de même le manque de concertation pour la mise en place de cette réforme fiscale. Il s’en explique.