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Réforme fiscale : « Veut-on la mort des prestataires de services? »

CST, l impôt qui ne dit pas son nom... © DRC’est la question posée par le syndicat polynésien des entreprises et prestataires de services (SPEPS) qui dans un communiqué envoyé aux médias, dénonce la réforme fiscale présentée par le gouvernement.

Le syndicat déplore « l’augmentation sévère » des taux de CST et de la TVA qui passe de 10 à 14%.

 » Une telle augmentation aura pour effets directs de faire baisser les carnets de commandes et d’augmenter le recours au travail illicite. »

Les prestataires de services demandent donc au gouvernement de reconsidérer sa position quant à l’augmentation du taux de TVA « que ce secteur ne saurait supporter ».

Communiqué SPEPS disponible en format pdf ici

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2 Commentaires

  1. Dominique Balsan
    4 juillet 2013 à 4h07 — Répondre

    Les entreprises sont en grande difficulté, échelonnent les paiements de TVA, CST, etc…, reduisent leurs effectifs, c'est du suicide à petit feu que de vouloir augmenter encore les charges…
    D'autre part, il existe une taxe sur les voitures en France, la vignette. Quand je vois toutes ces belles voitures neuves qui circulent en Polynésie, ne serait-il pas judicieux de le faire ici, puisque les gens ont les moyens de se les offrir… ce serait plus équitable et plus juste.

  2. 4 juillet 2013 à 19h31 — Répondre

    Tout à fait d'accord avec vous Mr Balsan. C'est la mort à petit feu des Prestataires de Service. Les taux de la CPS déjà ont augmentés depuis Janvier 2013. On a même plus envie d'embaucher tellement les charges sont en hausse et la TVA augmente ce qui veut dire moins de commande pour les Prestataires voire des clients qui proposeront à éviter la TVA parce qu'ils ne se gêneront pas à demander. C'est suicidaire !!!!!!!!!! Pour les vignettes je suis d'accord mais il y a un mais à revoir les prix de vente des voiture. En France les voiture sont moins chers, ici c'est multiplié en 3 fois le prix. Et je pense que le gouvernement n'en veulent pas car pas assez pour remplir leur caisse.

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