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Remplissage des hôtels : les bons chiffres qui en cachent de moins bons

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L’Institut de la Statistique (ISPF) vient de révéler les chiffres de la fréquentation hôtelière pour le mois d’août 2014 et ils sont impressionnants.

Selon l’ISPF, le nombre de chambre vendues pour le mois d’août est en hausse de 2,4%, et le coefficient moyen de remplissage (CMR) des hôtels internationaux s’établit à près de 74 %, soit 4 points de plus que l’an dernier à la même période.

L’Etude précise que ce chiffre n’a encore jamais été observé depuis la mise en place de l’enquête en 2006.

Cependant ces chiffres sont à mettre en perspective.

Les hôtels sont mieux remplis car de moins en moins de chambres sont proposées, -3,3% par rapport à août 2013.

La fréquentation touristique globale est en baisse entre août 2013 et août 2014 (-0,4%).

Le nombre de touristes résidant à l’hôtel a diminué de 1,8% par rapport à l’an dernier à la même période, soit 250 touristes de moins dans les hôtels polynésiens.

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2 Commentaires

  1. Tiare
    3 novembre 2014 à 13h06 — Répondre

    Bonjour,

    Il faut garder espoir, nous sommes sur la bonne voie.

    La crise persistante à permis pas mal de remise en questions sur les qualités d’accueil et de service.

    Il est dans l’ordre des choses, que cela se solde, malheureusement, par quelques fermetures d’hôtels ; parfois il vaut mieux accepter de reculer, dans tous les sens du termes, pour mieux rebondir.

    Ce qu’il faut retenir, dans l’historique de notre crise du tourisme, c’est qu’il ne faut pas se reposer sur ses lauriers quand tout va bien. Rester conscient de la dépendance de notre économie au tourisme, et observer les autres.

    Par exemple, j’ai malheureusement constaté par le passé, des arrivés de paquebots sans accueil de danses traditionnelles, pendant des périodes « fastes ».

    Il reste a continuer de ne plus jamais laisser une arrivée sans fleurs parfumées, danses etc.

    Nous avons de la graine à prendre de la Nouvelle-Calédonie dont le centre ville est mieux loti pour les visites des touristes en tout genre grâce aux mini-bus prévus à cet effet. D’autant plus qu’ils se servent de notre culture « ori Tahiti » pour recevoir leurs touristes.

    Nous avons également de la graine à prendre de Hawaï dont Waikiki Beach, qui offre tous les soirs des prestations gratuites pour les tous venants, encore du « ‘ori Tahiti » ! Ils font participer le public.

    Le retour à plus d’activités sportives, serait un plus, du ski nautique, de manière plus accessible, et plus ouvert au touristes, du fly surf, en plus des randonnées et de la plongée. Car aussi bien les touristes que les autochtones, on s’ennui !

    La qualité de service dans les hôtels demande encore des efforts ; c’est bien d’avoir commencé à sensibilisé les enfants, car c’est par eux qu’on obtient les meilleurs résultats.

    Par exemple, je ne veux plus arriver dans un hôtel, et être servie au bout de trois quart d’heures, et boire un pseudo cocktail goût « flotte » au prix d’un Pinacolada ; on le sait ces cocktails coûtent chers, mais ils valent le détour quand leurs recettes connues de tous est soignée ainsi que le service.

    Je ne veux plus entendre, une serveuse mal lunée, dire devant les clients en croyant sans doute qu’ils ne comprennent pas le français « il a cas attendre » sur un ton qui ne relève même pas du respect de l’être humain.

    Bravo pour l’avancement du projet « Mahana Beach ». Il s’agit là d’un accomplissement, de ce que recherche le rêveur des autres pays. Les « VIP » comme on dit sont de grands rêveurs. Et ce n’est pas que du rêve : vive le slogan « du rêve à la réalité ! »

    Je trouve que le choix pour le projet Hawaïen est judicieux, car il traduit vraiment l’âme de la Polynésie.
    Par contre, le restaurant immergé des chinois, serait un plus, car rien de tel que ces fonds marins, réhabilités en biodiversité par les biologistes si nécessaire, pour raconter encore mieux la Polynésie par ses légendes, lors d’un déjeuner, par exemple !

    Le projet de jeux d’argent est excellent. Dommage qu’une bonne partie de la population aie peur au point de ne pas vouloir que les habitants de Polynésie française puissent pas y aller aussi.

    En effet, beaucoup de gens, de chez nous économisent tous les ans pour aller jouer en Nouvelle Zélande, ou aux USA. C’est une véritable hémorragie financière !

    De plus, si les touristes ne voient aucun polynésien au sein du casino, ils risquent de ressentir comme un malaise.

    La population, est dotée de libre arbitre, et peu consciemment agir de manière responsable face aux jeux.
    Peut-on revenir sur cette décision, en promettant une compagne longue et durable de sensibilisation, voir une cellule d’accompagnement ?

    Voilà pour le « petit » mot, qui nous tient tant à cœur !

    Merci.

  2. Tiare
    14 novembre 2014 à 16h09 — Répondre

    Précision,

    Le penseur du projet Mahana Beach celui qui a imaginé, développé et présenté un dossier au gouvernement c’est,

    Teva SYLVAIN.

    Une association a été crée pour soutenir ce projet, regardez sur le site Pacific Promotion !

    Quelle est sa place aujourd’hui ?

    Devinez…

    Écarté,

    Comme d’habitude.

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