Oui Ia ora na chers auditeurs aujourd’hui on est mardi 21 août et je suis à la page 10 des nouvelles, le titre un supermarché à la place de Lou fong et je vois là que c’est encore le groupe Wan qui continue son implantation de grande surface. Ce qui est dingue chers auditeurs auditrices c’est que le groupe Wan ça fait pas longtemps qu’ils ont fermé l’hôtel Hilton et aujourd’hui ils sont encore entrain d’implanter une grande surface commerciale en face de l’ancien hôtel. En plus de ça ils sont défiscalisés et au bout de dix ans ils font tomber en faillite leur projet pour recommencer à côté et pour ne pas payer d’impôt. Voilà comment on fonctionne dans ce pays, on profite de la défiscalisation et ils ne sont jamais imposables ces gros bonnets, voilà chers auditeurs, faa ito ito payons les taxes, salut.

Bonjour radio1 ce beau pays qui est le nôtre a vécu durant 2000 ans de manière autonome pour ne pas dire indépendante. Il s’est bâtit une culture, une civilisation et une spiritualité exemplaire. En 200 ans tout ça a été détruit par la colonisation et aujourd’hui vous voulez parachever cette œuvre ? En transformant notre pays en département, en plus de la part des Polynésiens qui disent ça. Ils sont tellement colonisés qu’ils ne pensent qu’à devenir un département français et laisser tomber 2000 ans de culture et de civilisation. Pauvres Polynésiens je ne comprends pas, je ne vous comprends pas. Jamais devenir un département, jamais là vous parachevez l’œuvre du colonialisme là. Désolé ciao.

Oui bonjour ici le râleur un petit message concernant le Sofitel Maeva Beach. 216 chambres à 500 euros pour les retraités français ça ferait quand même 12 millions de Fcfp à gérer par mois pour payer les charges de l’immeuble et d’entretien et de clim et autres. Est-ce que ça serait pas réalisable, Oscar fais un petit geste. Fais des avions gratuits pour les retraités qui viennent 6 mois et plus en Polynésie française. Par contre juste une petite chose, il faudrait faire un test de détection pour les futurs présidents, un peu comme les miss un petit entretien pour éviter qu’on passe pour des truffes aux yeux du monde entier, merci au revoir.

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