ACTUS LOCALESTOURISME Tourisme : le groupe Auroy réplique à Niki Vontas Caroline Perdrix 2023-09-30 30 Sep 2023 Caroline Perdrix Suite à la parution de notre article le 25 septembre sur le partenariat hôtelier avorté entre le groupe Auroy et l’homme d’affaires Niki Vontas, qui rejetait la responsabilité sur l’investisseur local, le représentant de la holding Pangola de Dominique Auroy nous a fait parvenir un droit de réponse, que nous publions ici dans son intégralité. « Face aux déclarations de Monsieur Nikitas Vontas, reprises dans la presse, il convient de restaurer la vérité et nous entendons donc exercer le droit de réponse suivant : Monsieur Vontas, se présentant comme promoteur immobilier en Afrique du Sud, semblait partager notre objectif d’un nouveau développement hôtelier basé sur la réhabilitation d’hôtels, en vue de développer un écotourisme inclusif. Or il s’est avéré : 1° que ce monsieur ne détenait plus aucun actif en Afrique du Sud, et que sa société Redcore Hospitality Holding Ltd, enregistrée à Londres, était une coquille vide. 2° que depuis novembre 2021, sa société Redcore qui avait obtenu une autorisation d’investissement étranger en vue de concrétiser une offre de reprise de l’hôtel Méridien de Punauia ainsi que des deux hôtels Sofitel de Bora Bora, s’est révélé incapable de faire la preuve qu’elle disposait bien des fonds nécessaires, ayant littéralement trompé le Tribunal de commerce pendant plusieurs mois, et ce, au préjudice des sociétés en redressement (Société Hôtelière Rivnac, Lupesina Marara et Lupesina Private Island), et de leurs créanciers ! 3° que Monsieur Vontas, dans le cadre de ses différentes démarches en Polynésie, n’avait pas pris la peine de régler les différents prestataires auxquels il avait fait appel ; le dernier en date étant l’expert immobilier, auquel il avait annoncé demander de valoriser les actifs immobiliers de l’hôtel Royal Huahine ; mais qui, n’étant pas payé, ne lui a pas communiqué de rapport. Par conséquent, prétendre que nous aurions surévalué cet actif, alors même que n’ayant pas réglé l’expert, il n’a pas reçu son rapport de valorisation, relève donc de l’affabulation. Face à ces faits, il serait préférable que M. Vontas fasse profil bas et ne dénigre pas un groupe qui, sur la base d’actifs véritables et attestés, assure plus de 500 emplois en Polynésie et continue à contribuer à son développement économique. SAS Pangola Holding » Rappelons que Niki Vontas affirmait avoir obtenu et produit devant le groupe Auroy des « confirmations de financement ». Il assurait aussi qu’il était « en train de créer et capitaliser une société polynésienne dans le courant du mois d’octobre » et qu’il n’abandonnait pas l’idée d’investir en Polynésie. Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)